QUEER OU CRU

14 novembre 2010

QUEER OU CRU

Certain l'aime chaud et d'autres tièdes, c'est une tentative pour moi de déceler
une peu de tiroirs humain, humer la comédie humaine dans ce qui se fait de plus
cuit. Alors je prise un peu de présent post quelque chose et tente d'en exhauster
la saveur la plus amère imaginable, ceci étant rendu possible par une mise à disposition
de glaise culturelle assez rare par Fallala et par internet (tout deux surclassé dans le reigne
du diffuseur exemplaire d'une ration culture pour tous). Sapristi d'introduction faite, le sujet peux
s'étendre enfin sur la sortie littéraire et la rentrée dans les salles sombres, par ici, viens oh oui et
hmm.. c'est bon, sinon que le livre jouit de Houellebecq et le film mouille d'Emilie Jouvet.

Oui, "La carte et le territoire" roman d'ex littéraire atteinds d'asthénie nerveuse qui néanmoins, emporte le Goncourt de 2010, le cap dépassé, la modestie atteinte sans surprise au bout d'extras, l'immatriculation du tourisme sexuel ou de scênes outrageusement anal. L'exitation est de mise encore, mais plus tranquille tu vois, comme un calme informatif sous une écorce cynique et dépressive sur le monde qui, par ailleurs, se sauve par cet axe miroir.

Au même moment que le sexe sert à des personnages tendant vers l'apolitique, il y a autre, intimement antagoniste au Prince cérébrale appliqué au sexe, "Too much pussy"frotte fort à l'aide de poils pubiens acérés sur le front des hétéroxistes ascendants. Puissant rappel à l'être sexuel,c'est à dire l'idée que ces mots qui sont du corps et qui reste dans le corps trop souvent, la libido, la masturbation, le désir, sont de fait trop ingérés pour parfois ne ressortir que par la forme de feux, de peaux, de fétiches.